Je suis prof dans un petit collège de campagne. J'avais l'habitude l'an dernier de rester tard le mardi soir après les cours (18h) pour utiliser l'ordinateur du CDI. Autant pour taper des cours et pour surfer sur des sites pédagogiques que pour mater gratos des sites hard (c'est vilain je sais, mais c'est aisé de déconnecter le système de contrôle). Un soir de janvier, me sachant seul dans les parages, je matais tranquille un site particulièrement hard, quand j'ai vu quelqu'un arriver : une femme de ménage du collège, Laurence (qui théoriquement avait finie son service : elle restait plus tard ce soir là car sa voiture était au garage et son mari venait la chercher à 20h.).
J'avais tout de même prévu le coup et
j'ai vite ouvert une page « pédagogie » que je
conservais sur la barre des tâches. Elle a commencé
à discuter, d'internet notamment, me disant qu'elle aussi
surfait régulièrement. Elle est venue s'asseoir
à côté de moi (on se connaissait
déjà depuis un moment). Moi j'étais
évidemment excité comme un bouc, et très
gêné car j'avais sur ma barre de tâches une
page
« éjac faciale ! ! ! ! ». Je l'ai invité
à surfer un moment. Je me suis absenté un moment,
faisant exprès de la laisser seule. Pendant 4 à 5
minutes je l'ai observée depuis la porte de verre au fond du
CDI. bref je matais. Très vite cette mère de famille de
32 ans , une plantureuse brune frisée (pas superbe mais bien
rodelette et très nature) est allée sur la page de hard
(je pense qu'elle m'avait elle même maté avant
d'entrer). Elle regardait doucement des images de fellations, de
giclées phénoménales sur le visage de douces et
jeunes innocentes (.), en se trémoussant dans sa blouse
vert-pomme.
Je suis revenu tout doucement, et sans me faire entendre (elle était captivée !) je suis arrivé à 2 ou 3 mètres.
« Ca vous plait, » ai-je lancé, très peu sur de moi mais excité à mort. Elle ne savait plus où se mettre, morte de honte d'être découverte. « Ne soyez pas gêné, c'est moi qui ai ouvert ce site ». retrouvant mon assurance (car elle avait perdue la sienne), je me suis assis a côté d'elle, très près, et j'ai repris la souris. Je bandais comme un taureau et à mon avis elle l'avait bien vu. C'était très excitant .et très embarrassant. Pendant 5 minutes environ j'ai regardé les pages ouvertes précédemment, en faisant des commentaires qualitatifs, et le plus rigolos possibles (ça a détendu l'atmosphère).
Elle n'osait rien dire, et en ouvrant une image très excitante, je l'ai fixé droit dans les yeux, puis j'ai approché ma main de la sienne sur ses jambes. Elle accepta ma main et elle vint m'embrasser. Dès lors tout est allé vite, on s'est levé, je l 'ai mise, sur un coussin du CDI et je suis allé tout éteindre. Elle m'a immédiatement fait une pipe (Ici, pas de romantisme. je crois que elle comme moi n'avait qu'un seul but, satisfaire l'envie créée par la situation !). Ma femme (et oui c'est un cas d'infidélité.) m'a souvent sucé mais seulement du bout des lèvres, sans réel enthousiasme. Laurence elle, aime la fellation , elle aime faire monter sa victime. C'est une habituée de la chose (elle a un mari chanceux !), et elle voulait le montrer. Ce qui devait arriver arriva : en 2 minutes maxi je déchargeais dans sa bouche. En gentleman je l'avais prévenue de la giclette imminente, et elle en profita pour l'enfoncer à fond dans sa gorge. Jamais je n'avais joui dans la bouche d'une femme, c'est très excitant crois moi (ça décuple le plaisir car c'est fantasmagoriquement époustouflant).
Elle a ensuite enlevé son pantalon et sans l'ombre d'une hésitation elle s'est empalée immédiatement sur moi (elle étais déjà inondée). Là encore ce fut court.. 2-3 minutes à peine et elle eut un bel orgasme, gémissant comme une chatte en mordant mon col de chemise. Elle sortie immédiatement mon sexe et s'affala sur mon ventre, je pu donc me branler en passant la main derrière ses fesses : j'ai re-jouit sur sa croupe ce qui me restait de sperme. On s'est ensuite rhabillé très vite, sans un mot ou presque, semblant déjà regretter notre acte (sans préservatif il faut l'avouer.. Sur le coup, l'envie était irrésistible). Elle est partie immédiatement, je pense assez honteuse.
Le mardi suivant elle était encore là (on s'est croisé dans la semaine mais en échangeant juste des regards inquièts), cette fois-ci elle était en tenue plus sexy (bustier, jupe.). Sans un mot nous avons pris le temps de nous enfermer de nous cacher et on a fait l'amour plus « proprement », plus classiquement, comme pour parachever la séance précédente, pour combler le goût de trop peu de la première fois. Ce fut merveilleux (je peux détailler si tu le souhaites).
Elle n'est jamais ensuite revenu le mardi, et elle semblait vouloir m'ignorer : je comprends cela car c'est une femme droite et sympa qui je pense ne souhaitait pas d'aventure « sentimentale ». Hors la seconde fois fut sentimentale. Moi même j'étais heureux en ménage et à posteriori je préfère cela (sur le coup ce fut dur car elle fait merveilleusement l'amour).
De cette aventure je garderais surtout la terrible sensation de la « rage », de l'envie fantastique de jouir car la situation l'obligeait. C'est à mon avis rare de vivre cela, que les deux partenaires soient en rut à ce point là, sans ce connaître (sauf au « cinéma »X.. mais c'est du cinéma !).
Pier 28 ans.
Adresse = tailla_fr@yahoo.fr