J'ai longtemps été directeur de colonies de vacances en toutes saisons.J'ai reçu des classes vertes aux institutrices peu farouches, mais l'histoire que je vais vous raconter se déroule avec une animatrice, devenue depuis ma compagne...
Mois de Juillet, une centaine d'enfants séjournent au centre. Ce soir se déroulera l'inévitable boum et comme à chaque fois je serai en congé ainsi qu'un ou deux animateurs. Les 15 animateurs qui travaillent avec moi le savent, c'est toujours pareil, je leur laisse les mains libres ce jour là.. Ces jours là je me lève tard et c'est vers 14h que je fais mon apparition dans l'une des salles à manger où Hélène en congé aussi est en train de prendre une petite collation..
Ce n'est pas par hasard si elle est là, j'ai remarqué son attirance pour moi depuis un moment déjà et je suis tout disposé à me laisser tenter, il faut dire que non content d'être drôle et intelligente elle possède des atouts qui laisseraient peu d'homme indifférents. Petite brune d'1.68m elle dissimule mal sous ses maillots à fines bretelles une poitrine généreuse que l'on devine ferme et douce souligné par une taille fine qui met en valeur ses fesses somptueuses.
Bref c'est avec plaisir que j'accepte sa proposition d'aller visiter la ville voisine. Nous allons nous préparer séparement et lorsqu'elle me rejoint à la voiture je la vois porter une robe pour la première fois. Le soleil joue à travers le tissus fin qui me laisse deviner au dessin plus sombre de ses aréoles qu'elle ne porte pas de soutien gorge.
Nous prenons la route et en voiture discutons des enfants, des programmes d'activités à venir mais mon esprit est ailleurs, troublé par la vue de ses jambes sur lesquelles elle à remonté sa robe l'air de rien. Par accident ma main glisse sur sa cuisse en changeant de vitesse, elle sursaute, me sourit et s'étire comme un chat, quand elle baisse les bras la bretelle de sa robe glisse et dévoile plus que la naissance de son sein. Faisant mine de ne s'être aperçu de rien elle se retourne complètement vers moi et m'annonce qu'elle a soif...
Nous arrivons en ville où à mon grand regret elle rajuste sa robe et trouvons une terrasse accueillante où nous nous assyons l'un en face de l'autre..Mes sens s'apaisent un peu jusqu'au moment où en posant mon verre je baisse les yeux et la vois croiser les jambes si haut que je ne perd aucun détail de sa culotte blanche où j'ai cru voir une auréole plus sombre..
C'est à ce moment qu'elle me demande si
j'ai envie d'aller au cinéma..
A peine assis dans la salle elle pose sa main sur la mienne pour
l'emmener, dès que les lumières s'éteignent,
sur, la brûlure humide de son sexe ouvert. Je débusque
vite une perle de chair durcie que je caresse d'un doigt, les yeux
fixés à l'écran mais sans le voir.. Je suis tout
entier dans ce contact électrique, mon doigt est son plaisir
et je le fais monter et redescendre a ma guise. Je me glisse entre
ses lèvres trempées, m'introduit puis ressort humide
pour mieux glisser et tournoyer, appuyer ou relacher, le jeu dure,
dure, ses dents serrées témoignent pour elle des
sensations que lui procurent mon majeur..
La fin du film approche et c'est entre 3 doigt que je saisi cette boule de plaisir brut que je masturbe comme un sexe d'homme , que j'étire et serre jusqu'à la voir se recroqueviller, tremblante,sur son siège.Lorsque les lumières se rallument mon sexe fait une bosse voyante sous mon pantalon, sur laquelle elle vient poser la main en allant chercher ma langue...
En sortant du cinéma elle m'embrassa longuement le bout de mes doigts pour y goûter le nectar de son plaisr.L'après midi se prolonge de frôlement hypocrites en attouchement involontaires etlorsque nous arrivons au restaurant nos sens sont très éveillés...
Le restaurant me rappelle la terrasse de café du début d'après-midi et à son sourire je crois qu'elle pense la même chose. Je ai d'ailleurs la preuve une fois assis, puisque je sens son pied remonter le long de ma cuisse et venir se poser sur la proéiminance de ma braguette... Les pressions et mouvements de son pied me raidissent davantage tandis que son côté le souffle s'accèlere....Elle se penche vers moi au dessus de la table et le vue de ses seins bougeant librement dans son décolleté me convainquent déjà d'accepter ce qu'elle veut.. Ce qu'elle veut c'est que j'ouvre mon pantalon et laisse mon sexe libre.. A peine rassise son pied agile vient rejoindre son poste sans rencontrer de barrière et me fait monter au rythme de son souffle.. le dessert est une torture pour nous deux elle à passé une main entre ses cuisses et les yeux aux bords des larmes à force de se réfrener elle prend son plaisir tandis que le mien tache mon pantalon...
Hénnes